mardi 27 août 2013

En Bretagne il y a... du monde à la plage.

La plage, l'endroit semble idéal pour quelques croquis de personnages....
Pas si simple en fait, les enfants sont impossible à saisir, ils bougent sans cesse, quand aux adultes... ils courent après les enfants.

 



Je saisi, la construction d'un château de sable entre père et fils...









Un grand-père surveillant la baignade de ses petits-enfants, les pieds dans l'eau turquoise.













  







Un sonneur et un badaud, lors d'une fête médiévale, trop difficile, je range mon carnet et je profite du spectacle....



9 commentaires:

  1. Viens dans le Jura : les sapins, ça bouge beaucoup moins !

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    1. Et en plus, c'est moins loin.... Ce n'est pas l'envie qui me manque de venir vous retrouver dans le Jura....

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  2. décidément,tous bretons cet été !

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    1. Oui, cette année, la Bretagne a attiré les foules.

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  3. Un ptit somnifère dans la citronnade, et le problème devrait être réglé...

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    1. Bonne idée, l'année prochaine, je remplace le flacon d'ambre solaire par une flasque de somnifère...

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    2. bonsoir christine

      tu continues de travailler c'est bien de toujours y penser..même et surtout en vacances!!!
      moi aussi je me suis refrénée pour ne pas aller retrouver anne et les autres dans le jura
      le soleil aurait été de la partie que je te faisais signe...MAIS toujours et toujours être raisonnable...
      il faut dire que j'ai adoré ce stage dans le jura ..tout y était bien...les personnes, l'endroit avec tant de fleurs...de belles vaches dont les cloches nous reveillaient tous les matins...l'air pur, le calme serein...le choix des aquarelles..si attirantes de ce paysage si joliment vallonné..L'accueil des personnes de la CHANDOLINE...Les repas si bien pensés..j'espère y retourner..
      bien à toi et bises dile

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    3. Ah, ah, ah !!! Mais le soleil A ÉTÉ de la partie, Odile. Je suis encore une fois toute rouge (comme un homard, tiens !) et j'ai le nez qui pèle...

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    4. Pour les nez rouges comme des homards, qui pèlent, merci Madame Biafine

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